l`innoportin

Toute la franchuiardise, se cantonne de facon a ne pas perdre son identitè de ce qu`il pensent d`eax a l`etranger. Oui, ils se commemorent comme s`ils etaient de jours feriès ou de monuments necessaires en dehor de leur pays. Lorsqu`il sont dehors ils s`assument de facon trop perverse, c`est a dire que leurs radinnerie enleve l`air aux autres.

Mais il y a Barloventho, chica ou fille belle qui venait d`arriver en modernitè, asthutta et aussi sur-noise. Cubaine ou salsomanna dans l`esprit seulement, ecrivain ou facho de tout ce qui ne vas pas en question de fortune des autres. La richesse doir se faire avec les ignorants pour apres les remplir d`itelligence, de confort et aussi de beaucoups des aussi a chaque fois.

De l`autre cotè, sans s`annoncer ni detartrer leur conmissuration, il se dirent satisfaits par leurs trouvailles tranquilles; leurs ingenuitès de savelhotoddo de a demi peso en desacord. Chanssones ils ecrivaient et revaient que cela allait se demmoder pour en dire autant des autres; de Barlovento par ex. Tant cette fille rassemblait les etoiles, les rivieres en tungstenne de espumha en desde adhentro.

Elle avait une copinne de a demi pension la fortune, c`esta dire qu`elle pouvait dormir la nuit avec les desacatadhos des rues evidèes et cela la rendait plus jolie. Elle aussi, la premiere, rumbamanniaque avec des tas tas de demolition immediate, avec de tugns tungs de apauvrissement contagion-comprise. Elles fesaient la manche et cela servait tellement a remplir leurs tamtam de rouex carres de biblots de toute generation et provennances.

La noche buenha des academies de flam flam la cygogne, huuuuu cela allait jusqu`a embocher de salismans de à rithme et delires comme de Puertorico...... avec quoi pensez-vous que la salsa de New York s`est construit? Ils avaient l`habitudde de rouler de feuilles saltamontes sur les cuisses de filles, et un jours....plus d`elles! Plus de feuilles et les filles mecontentes se fhueron a mastiquer leurs peines labas ou les bateaux ont oub leer todo...